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28 octobre 2014

Islamisme - les otages en première ligne de feu

Je pense qu’il faut crier haut et fort à quel point l’islamisme radical est lâche et combien nous devons tous lutter contre cette maladie. En témoignage, les agissements de la secte Boko Haram qui utilise ses otages en première ligne, voire pire, pour commettre des attentats suicide. C’est proprement scandaleux, et l’on pourra sans doute retrouver ce modus operandi au Moyen Orient. Au Nigéria, la secte islamiste Boko Haram utilise ses prisonnières en première ligne lors des combats. L'organisation de défense des droits de l'homme fait état des nombreuses séquelles physiques et psychologiques dont souffrent celles qui sont libérées. Dans le rapport de HRW, une jeune fille de 19 ans retenue trois mois en otage par Boko Haram l'année dernière dit avoir été forcée de participer à des attaques islamistes. «On m'a demandé de porter les munitions et de m'allonger dans l'herbe pendant qu'ils se battaient. Ils venaient s'approvisionner en munitions, au cours de la journée, alors que les combats se poursuivaient» a-t-elle raconté. L'organisation de défense des droits de l'homme, qui compile plusieurs dizaines de témoignages d'ex-otages, fait état des nombreuses séquelles physiques et psychologiques dont souffrent celles qui sont libérées. Ce rapport intervient au moment où trente adolescents, garçons et filles, dont les plus jeunes ont 11 ans, ont été enlevés, ce week-end, dans l'Etat de Borno, épicentre de l'insurrection islamiste, dans le Nord-Est. La semaine précédente, soixante autres filles et jeunes femmes ont été enlevées à Wagga et Gwarta, deux autres villes du sud de cet Etat. Une série d'attentats-suicide ont été menés par des femmes, parfois très jeunes, plus tôt cette année, et certains s'étaient demandé si ces femmes pouvaient être des otages de Boko Haram. Rien ne permet cependant de prouver, pour l'instant, que les femmes-martyrs étaient des otages et non des combattantes volontaires. En juillet, une petite fille de 10 ans avait aussi été arrêtée dans l'Etat de Katsina, dans le nord-ouest du Nigeria, avec une ceinture d'explosifs autour de la taille. Retrouvez toutes les infos et le rapport sur le site de Human Rights Watch.

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